Je voudrais m’enfuir, mais le miaulement du chat m’arrête.
Je regarde autour de la maison et je continue sans voir aucun signe indiquant que je devrais rester là.
Juste le miaulement du chat qui est apparu soudainement et qui est devenu mon confident. Le même qui sera parti quand je sortirai par la porte.
J’aurais dû acheter des tomates, peut-être alors les doutes seraient loin de ma maison et de ma vie.
Je claque la porte et m’assieds sur le canapé sans autre intention que de laisser la nuit tomber. Soudain, j’ai oublié pourquoi je voulais m’enfuir.
Babou et clack!
